Les réalisateurs Hugo Benamozig et David Caviglioni l’ont embarqué en terres absurdes dans leur premier film, Terrible Jungle, à l’affiche actuellement. Vincent Dedienne y incarne un jeune anthropologue qui peine à couper le cordon avec sa mère tyrannique, qu’incarne Catherine Deneuve avec la liberté et l’effronterie qui la caractérisent. Avant de le retrouver dans le rôle d’un marginal attachant et sexy dans Parents d’élèves de Noémie Saglio, le 14 octobre prochain, nous lui avons proposé une petite partie de ping-pong verbale.
En forêt, oui. Au Bon Marché, non. Disons que j’ai mes propres points cardinaux.
Non, mais j’aime sauter des rochers. Je constate que d’été en été, hélas, la peur augmente…
Chez les filles : celle de Delphine Seyrig, de Sabine Azéma et la voix chantée de Muriel Robin. Chez les garçons, celle de Depardieu et celle de Laurent Bon (le producteur de Quotidien).
Mon chien s’appelle Macha et mon chat Monchien (non, il s’appelle Michoko !).
Coquine.
Avoir une île, et que mes idoles ne meurent jamais.
J’en fais très peu. Mais en général ce sont des crashs d’avion… ou bien la fin du monde dans un grand brasier.
Vide, toujours. Du champagne et de la sauce soja. Périmée. Un frigo d’adolescent.
Au-dessus de mon lit rien, et au-dessus de mon canapé une vieille et belle affiche d’Anne Sylvestre.
Pignouf !
Hyper contre. Moi, Président…
Un crottin de chèvre avec du pain un peu dur. Et un verre de blanc.
Celui qui concluait mon premier spectacle : « On naît, on meurt et puis c’est tout. Et s’il se passe quelque chose entre les deux, c’est mieux. »
Celui de la ligne 14.